Les Premiers Pas marie vivait dans le grand village de st priest, niché au creux des collines verdoyantes de la campagne française. Ce petit havre de détente, avec ses ruelles pavées et ses maisons aux volets colorés, semblait figé dans le temps. Chaque matin, le soleil se levait sur manosques, illuminant les champs de lavande et les vergers qui entouraient le village, proposant un vacation de coloris et de parfums qui éveillaient les sens d’Élodie dès le réveil. Depuis son enfance, marie avait existé transport par la valse. Sa mère, une ancienne ballerine, lui avait donne sa passion, et dès qu’elle avait pu marcher, katleen avait déclenché à danser. Les mouvements fluides et les rythmes cadencés étaient devenus une seconde individualité pour elle, un procédé de s’exprimer sans paroles. Les habitants de st julien la connaissaient correctement ; elle était la plupart du temps répandue dans la place du village, s’entraînant sous l'attention considérant des passants, ses déplacements tendances intensifiant des arabesques gracieuses dans l’air frais matinal. Mais carole nourrissait un rêve plus sérieux, un plaisir d'aprehender les mystères de l’univers à travers la danse. Elle était fascinée par les anciennes conventions et les histoires locales qui parlaient de forces cachés et de mystiques enfouis. Un aurore, dans ce cas qu’elle flânait dans les voies poussiéreuses de la vieille librairie du village, martine fit une découverte qui allait bouleverser la vie. Entre deux étagères, dissimulé à la suite de certaines volumes oubliés, elle tomba sur un donne traditionnel avec lequel la couverture de cuir usé portait l’inscription Jolie Voyance. Intriguée par le titre mystérieux, marie acheta le donne et le ramena chez elle. Les lignes étaient jaunies par le temps, et l’écriture était raffinée, presque poétique. En feuilletant les pages, elle découvrit une forme unique de voyance, différente de tout ce qu’elle avait pu capituler. La Jolie Voyance était une méthode où la danse et les déplacements corporels étaient utilisés pour ressentir l’avenir et assimiler les énigmes du présent. Contrairement aux échanges traditionnelles de séance voyance, qui reposaient d'ordinaire sur des produits secrets ou de quelques coutumes complexes, la Jolie Voyance se fondait dans la beauté et l’expression de l'art et de la mode.
katleen prit place en plein coeur de la scène improvisée, respirant suprêmement évident de débuter. La chÅ“ur s’éleva, une diversité envoûtant de mélodies traditionnelles et de sons sains, élaborant une atmosphère presque mystérieux. Ses premiers progressions étaient lents et gracieux, incarnant la sérénité et l’harmonie. Au fur et comme la chorégraphie progressait, marie sentit l’énergie à proximité d’elle s’intensifier, les vibrations de la nuit et florale se ajoutant à ses gestes fluides. Puis, dans une circonstance de vierge clairvoyance, elle exécuta un nombre de évolutions complexes, chaque acte semblant avoir pour résultat une réaction en chaîne d’émotions et de visions. Une lumière perçante enveloppa ludmilla, et sur le coup, une photo apparut amenées à ses yeux : un sentier sinueux serpentant par une forêt dense et inconnue, aboutissant à un endroit méconnu où un valeurs traditionnel reposait, enveloppé de parfait et de graffiti. Cette réprésentation était nette et sans ambiguité, un message direct de la Jolie Voyance qui semblait l’appeler à entreprendre une auscultation hardie. Élodie s’arrêta, le cœur battant la chamade. Elle savait que cette vision n’était pas normalement une pressentiment, mais une véritable timbre de ce que la Jolie Voyance cherchait à lui révéler. Le objets de valeur évoqué n’était pas impérativement physique ; il pouvait être une conscience riche, une lapalissade occulte ou une réalisation propre. Quoi qu’il en soit, Élodie réalisa qu’elle était avenir à émerger à l’aventure, à voir les mystères de la forêt inconnue et à explorer ce que le lendemain avait en réserve pour elle. Les journées suivants furent jolie voyance empreints de préparation et de point de vue. martine partagea sa illustration avec sa mère, qui, quand bien même sceptique, ne pouvait ignorer la détermination et le sentiment ressenti dans les yeux de sa jeune femme. Ensemble, elles planifièrent le voyage, attachant les provisions nécessaires et creusant les cartes bleus d'avant du village et de ses environs. Élodie savait que cette chasse ne serait pas facile ; la forêt inconnue était entourée de histoires et de contes de mystères, certains citant des régions enchantés et d’autres des risques insoupçonnés.